A l’occasion du lancement de sa campagne nationale d’information « Ma santé passe par mes microbiotes », le laboratoire PiLeJe a souhaité faire le point auprès des Français sur les troubles digestifs que l’on peut rencontrer au quotidien. Il ressort que près de moitié d’entre eux (48%) affirment souffrir d’au moins un type de troubles digestifs. Et il s’agit, pour la plupart, d’indispositions telles que des douleurs abdominales et gaz fréquents (25% déclarent vivre cette situation) ou encore un transit irrégulier (22%). Dans le détail, on observe une plus forte sensibilité de la part des femmes (54% se disent concernées par au moins un type de troubles digestifs contre 41% des hommes).
Trois catégories de réactions se font alors jour : une petite moitié (46%) de personnes qui ne considèrent pas vraiment l’inconfort engendré (17% n’y prêtent guère attention, 29% se disent parfois indisposés mais attendent que cela passe), un quart (26%) qui recherchent seuls une solution (en modifiant son hygiène de vie) et un gros quart (28%) qui se tournent vers une solution externe (en sollicitant un conseil auprès d’un professionnel de santé : 21% ; ou en prenant des compléments alimentaires tels que des probiotiques : 7%) .
Mais les conséquences des troubles digestifs sont inégalement identifiées. En effet, si la majorité des Français apparaît consciente des conséquences potentielles des troubles digestifs en matière de surpoids (67%) ou d’affaiblissement du système immunitaire (58%), la notoriété de répercussions moins directes (telles que la dépression, des douleurs articulaires ou des allergies respiratoires) apparaît minoritaire.
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