Si la période de sevrage tabagique n’a pas nécessité de changement particulier dans le mode de vie de la majorité des anciens fumeurs (57%), d’autres ont eu besoin d’adapter leur quotidien (43%).
Parmi ceux-ci, l’instauration d’autres réflexes (chewing-gums, boules anti-stress…) semble avoir permis de mieux vivre le sevrage (39%), quand certains ont modifié leur alimentation (33%), augmenté leur activité sportive (32%) ou se sont abstenus de certaines sorties (27%).
En revanche, une part infime dit avoir consulté plus fréquemment un professionnel de santé (5%).
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