Dans un contexte de crise économique et sociale particulièrement tendu pour un grand nombre de Français, une forte majorité des personnes interrogées attestent qu’en dépit des avantages fiscaux y afférents, recourir aux services à la personne nécessite de faire des concessions sur d’autres postes budgétaires au sein du foyer. Dans ce cadre, l’éventualité d’une hausse de 10% du prix de l’heure conduirait une part très importante d’utilisateurs de services à la personne, ne serait ce que dans une logique d’extrapolation, à renoncer à y recourir. Ce résultat pose ainsi clairement la question de l’impact économique de la diminution des avantages fiscaux en direction des utilisateurs de services à la personne.
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