Une dissolution de la précédente union qui fait bouger les lignes de la gestion patrimoniale.
Si la gestion de son patrimoine ne ressort pas dans les trois priorités au moment de la rupture, le fait d’assurer la dissolution du patrimoine commun a toutefois été une préoccupation pour 27% des répondants, et le première préoccupation de 12% d’entre eux.
La dissolution du premier ménage a eu une effet certain sur la préparation de la transmission de son patrimoine puisque 85% des Français issus de familles recomposées qui avaient souscrits à des contrats les ont modifié suite à cette rupture. Seuls 15% n’ont à l’inverse effectué aucune action sur ces contrats.
Une complexification de la gestion de son patrimoine.
Près de la moitié des Français appartenant à une famille recomposée estime que la gestion de leur patrimoine n’est pas complexe (47%). Toutefois, parmi ceux qui estiment que cette complexité a évolué depuis la rupture de la précédente union, la perception de cette évolution est avant tout négative.
Des Français issus de familles recomposées tournés vers la transmission de leur patrimoine.
Un tiers des Français appartenant à une famille recomposée déclarent avoir commencé à préparer la transmission de leur patrimoine (34%).
Ce niveau de préparation déclaré semble toutefois sous-estimé par rapport aux actes posés par les personnes interrogées. En effet, près des deux tiers déclarent avoir déjà mis en place au moins un dispositif dans l’optique de transmettre leur patrimoine (67%).
Les personnes interrogées se disent avant tout préoccupées par le fait d’assurer l’avenir de leurs enfants (32%) et de protéger leur conjoint actuel (26%) dans leur gestion patrimoniale.