- Près de neuf Français sur dix (87%) souhaitent que le fluvial se développe dans les années à venir…
« L’adaptation des infrastructures pour faire face au changement climatique et concourir à la lutte contre les inondations et les sécheresses » se distingue particulièrement en étant perçu comme indispensable pour 58% des Français et obtient un « total indispensable/important » de 93%.
Le recours au transport de marchandises par voie fluviale est également fortement plébiscité : les deuxième et troisième axes de développement estimés prioritaires par les Français sont en effet « le développement de transport de marchandises par voie fluviale pour désengorger les réseaux routiers et ferroviaires » et « le recours au transport de marchandises par voie fluviale, particulièrement en milieu urbain dense », avec chacun un total indispensable/important de 90% des Français.
Dans l’ordre d’importance accordée arrive ensuite l’axe de développement touristique du fluvial. Le « développement d’une offre touristique fluviale, écoresponsable et de proximité » et « le développement du tourisme fluvial dans les territoires ruraux pour accroître leur activité » sont moins prioritaires que le fret ou l’adaptation des infrastructures face aux défis climatiques mais sont tout de même des éléments importants à valoriser dans les années à venir.
Les bienfaits du fluvial comme vecteur de développement économique, écologique et territorial sont reconnus par les Français qui ont envie de le voir être plus valorisé à l’avenir (87%).
Aux yeux de huit Français sur dix, le transport fluvial est une solution efficace pour désengorger les réseaux de transport routiers et ferroviaires (85%). Le réseau fluvial est également jugé indispensable pour irriguer les exploitations agricoles et approvisionner les industries (84%). Face au défi climatique d’aujourd’hui et les profondes transformations qui en découlent, le fluvial est perçu comme un outil puissant pour produire de nouvelles énergies écologiques (83%) et comme un « mode de transport de marchandises écologique » (76%) et silencieux (79%) qui répond à ces nouveaux enjeux.
D’un point de vue culturel, le fluvial représente un patrimoine culturel remarquable pour 89% des sondés. La moitié considère ainsi que le fluvial a un impact sur le dynamisme touristique d’un territoire » (49%) et que l’aménagement des berges impacte l’amélioration du cadre de vie des riverains (51%).
L’usage des voies fluviales par les Français qui ont le sentiment d’avoir un lien personnel avec le fluvial (34%) est lié à leurs loisirs. En effet, leur proximité quotidienne ou ponctuelle se traduit principalement par des activités le long des berges (promenades à vélo ou à pied, pêche, etc, pour 24% d’entre eux) et sur l’eau (pédalo, kayak, etc, pour 9%).
- … parce qu’ils en ont une très bonne représentation et lui accordent de multiples bienfaits.
Les bienfaits du fluvial comme vecteur de développement économique, écologique et territorial sont reconnus par les Français qui ont envie de le voir plus valorisé à l’avenir (87%).
Aux yeux de huit Français sur dix, le transport fluvial est une solution efficace pour désengorger les réseaux de transport routiers et ferroviaires (85%). Le réseau fluvial est également jugé indispensable pour irriguer les exploitations agricoles et approvisionner les industries (84%). Face au défi climatique d’aujourd’hui et les profondes transformations qui en découlent, le fluvial est perçu comme un outil puissant pour produire de nouvelles énergies écologiques (83%) et comme un « mode de transport de marchandises écologique » (76%) et silencieux (79%) qui répond à ces nouveaux enjeux.
D’un point de vue culturel, le fluvial représente un patrimoine culturel remarquable pour 89% des sondés. La moitié considère ainsi que le fluvial a un impact sur le dynamisme touristique d’un territoire » (49%) et que l’aménagement des berges impacte l’amélioration du cadre de vie des riverains (51%).
L’usage des voies fluviales par les Français qui ont le sentiment d’avoir un lien personnel avec le fluvial (34%) est lié à leurs loisirs. En effet, leur proximité quotidienne ou ponctuelle se traduit principalement par des activités le long des berges (promenades à vélo ou à pied, pêche, etc, pour 24% d’entre eux) et sur l’eau (pédalo, kayak, etc, pour 9%).