Une semaine après le scrutin organisé pour élire son Président pour les trois prochaines années, l’UMP est toujours au cœur d’une lutte entre les partisans de Jean-François Copé et ceux de François Fillon, qui contestent les résultats proclamés par la Commission d’Organisation et de Contrôle des Opérations Electorales.
Deux tiers des Français attribuent la paternité de la situation à des querelles et des rivalités de personnes entre les soutiens de chaque camp (67%), tandis qu’un autre tiers argue plutôt de désaccords politiques sur la vision de la France et sur la stratégie à suivre pour l’UMP (33%). Les querelles d’egos sont davantage mises en évidence par les sympathisants du mouvement, les trois quarts d’entre eux jugeant la situation actuelle est liée à ces rivalités (75%).
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