A peine un dirigeant sur cinq attribue correctement la bonne place au risque routier dans la hiérarchie des causes d’accidents mortels au travail (18%).
Une erreur d’évaluation qui croît depuis le début des mesures, puisqu’ils étaient 25% à estimer correctement ce risque en 2016.
A l’inverse, ils sont de plus en plus à considérer que le risque routier professionnel occupe seulement la seconde place (43%) et un gros tiers lui attribue la troisième (35%).