A l’occasion du colloque organisé sur le thème « Sport et activité physique : comment favoriser la prescription médicale ? », Swiss Life a souhaité faire le point sur les pratiques des médecins généralistes en la matière à l’heure où un amendement au projet de loi de Santé prévoit de leur donner l’autorisation de prescrire sur ordonnance « une activité physique adaptée à la pathologie, aux capacités physiques et au risque médical du patient ». Acteur de référence en assurance santé, Swiss Life a donc commandé à l’Ifop une enquête sur le sujet auprès d’un échantillon national représentatif de 600 médecins généralistes exerçant à titre libéral ou mixte.
Les résultats de ce sondage mettent notamment en évidence :
– Le soutien massif des médecins au projet de loi les autorisant à prescrire des activités physiques : 82% d’entre eux considèrent que cette prescription par le médecin traitant est « une bonne idée »
– L’impact de ce dispositif législatif sur cette pratique : les trois quarts (72%) des médecins n’en ayant jamais prescrit ont désormais l’intention d’en prescrire et la moitié (49%) de ceux en ayant déjà prescrit ont l’intention d’en prescrire plus
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