Au moment où il quitte la présidence européenne, Nicolas Sarkozy peut se féliciter du surcroît de popularité – à tout le moins de la réduction d’impopularité – que lui ont accordé les crises successives du semestre et sa manière d’y faire face. Ainsi a-t-il remonté de 35% en mai à 40% en août et de nouveau de 37% en septembre à 44% aujourd’hui, dans le dernier Baromètre Ifop-JDD, inchangé par rapport à novembre.
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