Une très large majorité de Français conserve des téléphones portables inutilisés à leur domicile.
83% des Français de 18 à 65 ans stockent des téléphones sans utilité chez eux.
Parmi eux, les PCS+ sont surreprésentés (89%), tout comme les personnes vivant en région parisienne (90%) et les étudiants (92%). Le public susceptible d’être intéressé par des solutions de revente ou de recyclage de ses téléphones est donc large.
A l’image de ce qui est observé dans d’autres études Ifop, les considérations environnementales constituent une véritable préoccupation et ainsi un levier pour se séparer de téléphone(s) inutilisé(s).
Le fait de permettre à un téléphone non utilisé d’être recyclé afin de contribuer à la préservation de l’environnement arrive en première position des incitations à s’en délester pour les personnes qui conservent au moins un téléphone inutilisé à domicile (29%), devant la revente du téléphone (25%). Les habitants du Sud Ouest (44%) et les étudiants (42%) sont particulièrement sensibles à l’argument environnemental.
A l’inverse, la revente attire particulièrement le cœur de cible, c’est-à-dire ceux qui ont déjà acheté un téléphone reconditionné (31%) et qui connaissent donc mieux cette possibilité de seconde vie du téléphone. C’est aussi le cas des personnes faisant partie de la Génération Z (30%), les travailleurs indépendants (33%), et ceux qui conservent plus de 3 téléphones portables (37%).
Alors que la revente de ce(s) téléphone(s) constitue la 2e motivation principale pour 25% des personnes concernées, l’étude montre que le fait de pouvoir générer un profit sur ce(s) téléphone(s) inutilisé(s) constitue donc un argument secondaire pour les Français concernés. En effet, 75% citent des motivations autres, qui ne sont pas directement associées à un bénéfice financier personnel.