Interrogés par l’Ifop pour Sud Ouest Dimanche, les deux tiers des Français (66%) se montrent très critiques et attribuent les responsabilités de l’affaire du Mediator à certains dirigeants, responsables selon eux d’avoir protégé les intérêts du laboratoire incriminé. Seul un tiers des personnes interrogées (32%) estime que ces années passées avant l’interdiction du médicament sont liées au fonctionnement trop complexe et trop lent de l’administration et des autorités sanitaires.
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