Les « French Days » sont connus par une majorité de Français âgés de 18 ans ou plus.
L’étude Ifop réalisée pour Mondial Relay montre que 57% d’entre eux en avaient en effet entendu parler avant l’enquête. Plus précisément, 14 % ont déjà réalisé au moins un achat lors de précédentes éditions et 43% n’en n’ont jamais réalisé.
Dans le détail, l’occurrence d’un achat lors de précédentes éditions est plus élevée chez deux catégories de population traditionnellement « leader d’opinion » :
- Les plus jeunes (18-24 ans), cible généralement prescriptrice : 21% des « moins de 35 ans » en ont déjà réalisé au moins un (contre 14% en moyenne), proportion qui atteint près d’un quart des 18-24 ans (23%).
- Les cadres et professions libérales dont le pouvoir d’achat est sensiblement plus important que la moyenne : 22% ont réalisé au moins un achat (contre 14% en moyenne).
Enfin, signe d’une opération qui ne s’inscrit pas seulement dans un registre de consommation individuelle, les individus résidant dans un foyer avec enfant ont également davantage participé aux précédents « French Days » (23%).
Les représentations associées aux « French Days » sont plurielles.
Parmi les termes proposés, 5 sont cités en premier par une proportion quasi équivalente d’interviewés. Ils mettent en exergue des bénéfices perçus de :
- Service : « pratique » (16% citent ce terme en premier et 33% en premier ou en second), « utile » (12% et 24%) ;
- Proximité : « accessible » (14% et 27%) ;
- Plaisir : « agréable » (13% et 25%) ;
- Dynamisme : « innovant » (14% et 23%).
Les autres termes proposés sont cités en priorité par moins de 10% de l’échantillon : « pertinent » (7%), « indispensable » (3%) et « authentique » (1%). 20% des personnes interrogées citent par ailleurs « un autre terme » parmi lesquels « inutiles » et « commercial » sont fortement mentionnés.
Le cœur de cible, c’est-à-dire les 14% d’interviewés ayant déjà réalisé un achat lors de précédentes éditions mettent davantage en exergue les dimensions de praticité (24% citent le terme « pratique » contre 16% en moyenne) et de plaisir (19% citent en premier le terme « agréable » contre 13% en moyenne). A signaler aussi que l’évènement est logiquement plus incarné auprès de cette population : seuls 7% citent « un autre terme » (contre 20% en moyenne).