Le montant du grand emprunt, sur lequel le chef de l’Etat sera amené à trancher début décembre, a suscité ces derniers jours une vive polémique entre les partisans d’un emprunt massif et les défenseurs d’un emprunt plus modeste. Dans ce débat, les Français prennent nettement position en faveur d’un emprunt national d’un montant limité estimant que le pays étant déjà très endetté (67% des citations). A l’inverse, un tiers des personnes interrogées (32%) considère plus souhaitable d’utiliser cet emprunt pour investir puissamment dans le développement des secteurs d’avenir tels que la recherche, les nouvelles technologies, l’environnement et les infrastructures.
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