80% des Français approuvent le principe d’une rétention de sûreté car ils estiment à 81% que cette mesure va faire diminuer le taux de récidive. 64% des personnes interrogées seraient également favorables à un application immédiate de cette loi alors que 36% pensent qu’au nom du principe de non-rétroactivité on doit différer sa mise en vigueur, ce jugement étant plus répandu parmi les cadres supérieurs (47%) que chez les employés (30%) ou les ouvriers (31%).
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