A l’occasion du printemps, www.DAYLOV.com, nouveau site de rencontres dédié à la séduction et aux rencontres extraconjugales, a réalisé un sondage auprès de l’institut IFOP et dévoile quels pouvoirs ont les fleurs sur les femmes.
LES CHIFFRES CLÉS DU SONDAGE
– 52% des femmes qui reçoivent des roses ont plus envie de faire l’amour avec leur partenaire.
– 61% des femmes déclarent que le fait de recevoir des fleurs tend à les rassurer sur les sentiments de leur partenaire.
– 52% des femmes indiquent avoir davantage envie d’être fidèles à leur partenaire lorsqu’il leur offre des fleurs
A l’occasion du printemps, DAYLOV.com, nouveau site de rencontres dédié à la séduction et aux rencontres extraconjugales, a réalisé un sondage auprès de l’institut IFOP et dévoile quels pouvoirs ont les fleurs sur les femmes.
On observe dans le détail que l’impact d’un bouquet de fleurs sur la sexualité du couple varie sensiblement en fonction du profil sociodémographique des femmes interrogées :
– il tend à s’éroder avec l’âge, 63% des femmes de 18-24 ans déclarant que ce geste est susceptible de dynamiser leur libido, contre 50% au-delà de 65 ans ;
– les femmes y sont d’autant plus sensibles que leur relation de couple est récente : ainsi, 62% des femmes en couple depuis moins de trois ans ont davantage envie de faire l’amour après avoir reçu des fleurs de leur partenaire, contre 48% lorsque la relation date de plus de dix ans ;
– l’impact du bouquet de fleurs apparaît également plus marqué parmi les femmes ayant une libido épanouie (62% parmi les femmes qui ont plus de trois rapports sexuels par semaine, contre 53% lorsqu’elles ont moins d’un rapport par semaine) ;
– enfin, les hétérosexuelles (56%) et les lesbiennes (57%) se montrent nettement plus sensibles à ce cadeau que les bisexuelles (43%).
Le fait de se voir offrir des fleurs n’est en revanche guère perçu par les femmes comme un gage de fidélité de leur partenaire. En effet, 64% des femmes interrogées déclarent que ce geste n’est pas de nature à les rassurer quant à la fidélité de leur partenaire, dont 23% qui déclarent que cela n’est « pas du tout » le cas.
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