Moins d’un quart des agents interrogés (22%) se considèrent bien informés sur une réforme les concernant directement. Probablement liée à ce déficit d’information, 62% des fonctionnaires manifestent de l’inquiétude à l’égard de ce processus de modernisation. Néanmoins, près d’un agent sur deux (48%) déclare adhérer à cette réforme et une large majorité d’interviewés (73%) la juge même indispensable.
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