L’événement hybride est un format bien connu et pratiqué par les cadres
Le terme « événement hybride » est loin d’être étranger aux cadres : plus de huit cadres sur dix (83%) lui associent la définition correcte (un événement auquel il est possible de participer physiquement ou à distance).
Cette compréhension de la notion vient notamment de la place qu’elle occupe désormais dans le quotidien professionnel des cadres. Les événements hybrides se sont largement répandus dans leurs pratiques, puisque 76% déclarent avoir assisté à au moins un événement hybride au cours des deux dernières années.
La participation à un événement hybride à distance est une expérience unanimement positive, et de nombreux cadres relèvent que ce format facilite en premier lieu leur organisation
L’expérience d’un événement hybride à distance et tous les aspects qui en découlent ont largement convaincu les participants. La communication en amont a plu à 91% des cadres et 88% ont également été satisfaits par les conditions techniques. Au global donc, les dimensions techniques, qui auraient pu constituer un véritable point noir de ce format, apparaissent maîtrisées par les organisateurs.
La possibilité d’assister à un événement hybride à distance constitue le principal avantage de ce format : il permet de ne pas avoir à se déplacer pour assister à une réunion, ce qui est relevé par 48% des cadres, un atout qui arrive loin devant l’optimisation de son organisation et la liberté dans le choix du programme (15%).
Mais une organisation qui reste perfectible, notamment dans les spécificités propres au format hybride.
En effet, l’attention est un enjeu crucial lors d’événements hybrides. Les cadres tombent d’accord sur le fait que la modalité physique capte mieux l’attention (73%) que le distanciel (7%), même si un cadre sur cinq estime que le niveau d’attention est identique dans les deux situations (20%). Néanmoins, puisque les cadres se déclaraient largement satisfaits par leur niveau d’attention lors de leur dernier événement hybride à distance, le décalage n’apparaît pas rédhibitoire.