Parmi leurs deux priorités concernant leur propre fin de vie, un peu plus d’un Français sur deux (55%) cite une réponse en lien avec l’accompagnement, dont 38% le fait d’être accompagné par des proches.
Ils sont également une petite moitié à mentionner comme priorité le fait de ne pas subir de douleur (48%) et ne pas faire l’objet d’un acharnement thérapeutique (46%) tandis que pouvoir obtenir l’euthanasie est cité par un quart d’entre eux (24%).
L’âge semble structurer en partie la perception de la fin de vie. Moins les répondants sont âgés et plus ceux-ci sont enclins à placer l’accompagnement en général parmi leurs priorités. Concernant le fait de pouvoir obtenir l’euthanasie, cette priorité est davantage partagée par les cadres (35%) que par le reste de la population.