Si 53% des actifs ne seraient pas prêts à sacrifier leur repos dominical, une minorité non négligeable (26%) pourrait envisager “certainement” ou “probablement” de travailler le dimanche. Ceci pourrait à terme doubler le nombre de personnes exerçant sa profession au moins certains dimanches dans l’année, qui s’établit déjà aujourd’hui dans notre pays à 21%.
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